Colombes - La colère des victimes de home jacking |
"Faut-il comprendre que la maire profite de cette triste occasion pour faire de la communication, mensongère qui plus est ? Si c'est le cas, c'est inadmissible", scande Marc. Une deuxième victime, habitant comme Marc le quartier de la Petite-Garenne, à Colombes, affirme également n'avoir jamais entendu parler de cette cellule de crise. "Et la maire ne s'est pas manifestée, ne serait-ce que pour prendre des nouvelles", précise-t-elle. Jointe hier soir, Nicole Gouéta insistait : "Nous avons bien un psychologue en cas de besoin et un service d'aide aux victimes." Valérie Mahaut |
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